Sur un GM Platter

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Indian express
Éditorial
juillet 16, 2009

www.indianexpress.com

Le débat sur les cultures génétiquement modifiées est si enclin à être pris en otage par pseudoscience, alarmisme et la surévaluation que les retards ont été construits dans la livraison aux agriculteurs indiens de nouvelles semences que les agriculteurs dans d'autres pays prennent pour acquis.

Il y a deux ans, le Comité d'approbation du génie génétique, L'autorité de régulation suprême de l'Inde, l'autorisation accordée à Mayco pour les essais à grande échelle de Bt brinjal. Cette semaine, K.V. Thomas, ministre de l'Etat pour l'agriculture, dit au Parlement que la production de GM brinjal, tomate et chou-fleur pourraient s'attendre dans les trois ans. Plus tôt ce mois-ci, Environnement et des Forêts ministre Jairam Ramesh a également dit Lok Sabha que, parmi d'autres plantes éliminé par le GEAC pour la production de données bio-sécurité sont le coton, riz, gombo, Patate, Arachide, blé, chou, la moutarde et le sorgho. Avant d'être disponible dans le commerce, pourtant, toute semence devra être éclairci par le GEAC et le Comité d'examen des manipulations génétiques.

L'accent mis sur les mécanismes de réglementation des essais sur le terrain des cultures génétiquement modifiées et leur jeu pour le semis répandu est bien indiqué pour des raisons de la science et des perceptions populaires. Les cultures transgéniques ont à tester dans différentes conditions écologiques de l'impact sur la végétation locale et pour vérifier si les propriétés comme une plus grande productivité ou maintien de la résistance parasite dans le nouvel environnement.

Mais le débat sur les cultures GM doit être récupéré des extrêmes des critiques convaincus des propriétés Frankenstein de la technologie et de ses partisans qui croient que les cultures transgéniques sont la réponse sans ambiguïté à toutes les détresses de l'agriculteur et du consommateur.. Notre expérience avec des spectacles de coton Bt que les modèles de culture ne se conforment pas à ces abstractions. En réalité, dans 2001, certains producteurs de coton fait part de leur impatience avec les délais réglementaires en récoltant les avantages de la technologie Bt, si, par inadvertance ou par le piratage délibéré. La clairance commerciale ultérieure du coton Bt a aussi été une courbe d'apprentissage, et a contraint le développement de variétés hybrides plus productives.

Le cas pour hâtant essais Bt sans compromettre les contrôles de sécurité ne sont pas motivés par un désir de rattraper les économies agricoles comme celles aux États-Unis, La Chine ou l'Argentine (où la superficie cultivée GM a connu une croissance rapide). Il est plutôt de donner à l'agriculteur plus d'options.

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